Anthropomorphisme et Empathie voilà les deux moteurs de cette série initiée en 2013 après un épisode de grêle dans mon verger à Thoard.
Des pommes et des poires impactées en juillet et photographiées à l’automne, des accidentées de la vie qui revendiquaient leur étrange photogénie.
Dans mon éternelle quête du regard non pas du photographe mais de celui perçu par le photographe j’avais trouvé de nouveaux amis bienveillants avec qui faire un bout de chemin.
Les enfants, toujours prêts à de nouvelles rencontres, adorent.
Les adultes ayant gardé une faculté d’émerveillement aussi.
Quant aux autres on ne sait jamais.
                                                                                    Alain Sauvan / Février 2016